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Flambi le Cerf aimait trop la compagnie des Poneys, les Chasseurs l’abattent!!

Dans un monde où la compassion et le bon sens semblent s’évaporer, une histoire poignante nous révèle l’absurdité de certaines décisions. Flambi, un jeune cerf orphelin au destin hors du commun, a été élevé par une jument après la disparition de sa mère. Mais alors qu’il trouve une nouvelle famille parmi deux poneys dans une ferme paisible, une menace pèse sur sa vie. L’Office national de la chasse, détenteur d’un pouvoir sans équivoque, a décidé de mettre fin à son existence, sans aucune considération pour sa trajectoire unique. Même le Maire du village, impuissant face à cette exécution injuste, se trouve contraint d’observer cette tragédie en silence.

Le récit se déroule dans un coin reculé de la campagne, où la nature et l’humanité se croisent. Flambi, élevé par une jument aimante, avait réussi à surmonter les obstacles d’une enfance solitaire. Mais lorsque la jument disparut, une nouvelle famille se présenta à lui : deux poneys doux et attentionnés. Une symbiose touchante s’installa, faisant fi des barrières entre les espèces.

Cependant, l’harmonie qui régnait dans cette ferme paisible fut brusquement troublée par l’arrivée de l’Office national de la chasse, une entité implacable régie par des règles dénuées de bon sens. Flambi, sans même avoir la chance de présenter son histoire singulière, fut condamné à mort. Les autorités n’avaient aucune considération pour les liens puissants qui s’étaient tissés entre ce cerf orphelin et ses compagnons équins.

La nouvelle se répandit dans tout le village, suscitant l’indignation de ses habitants. Le Maire, bien qu’animé d’un désir ardent de justice, se heurta à l’inébranlable mur bureaucratique dressé par l’Office de la chasse. La volonté du peuple, la tendresse de Flambi envers sa nouvelle famille, tout cela fut balayé d’un revers de main.

Face à cette tragédie qui se profilait, la mobilisation fut générale. Les réseaux sociaux s’enflammèrent, les défenseurs des droits des animaux firent entendre leur voix avec ferveur. Mais, malheureusement, leurs efforts semblèrent vains devant l’implacable machine administrative qui dictait la destinée de Flambi.

Ainsi, l’innocence de Flambi et la magie d’une famille improbable furent piétinées par l’insensibilité d’une institution aveugle. Une vie unique, forgée par des liens inattendus, fut sacrifiée sur l’autel de la rigidité des règles. L’Office national de la chasse peut bien éteindre la vie d’un cerf, mais il ne pourra jamais éradiquer la compassion qui brûle dans les cœurs de ceux qui refusent de plier devant l’injustice.

Dans cette sombre histoire, Flambi restera à jamais le symbole d’une lutte perdue d’avance, d’un combat contre une machine froide et insensible. Et pourtant, peut-être, cette histoire réveillera-t-elle nos consciences engourdies, nous rappelant l’importance de l’amour et de la solidarité, même au sein d’un monde qui semble les avoir oubliés.