« Nous avons entendu un léger tapotement à la porte de la clinique »
Cette semaine, le personnel du Cape Wildlife Center dans le Massachusetts a remarqué que quelqu’un avait besoin d’aide.
Une oie nommée Arnold, qui vit sur un étang à proximité, a été repérée ayant du mal à marcher, apparemment à cause d’une blessure à son pied ; Le personnel a donc décidé d’admettre l’oiseau dans leur hôpital de la faune pour le traiter.
Mais ils n’étaient pas les seuls à s’inquiéter pour le bien-être d’Arnold.
Un examen a révélé que le pied d’Arnold était effectivement blessé et qu’il faudrait une intervention pour le réparer. Son absence soudaine de l’étang, cependant, n’est pas passée inaperçue.
Il s’avère qu’Arnold a une petite amie – une compagne de toujours qui est avec lui depuis des années. Et elle n’était pas prête à lui refuser son soutien moral au moment où il en avait le plus besoin.
« Alors que nous nous préparions à endormir Arnold en vue de l’opérer, nous avons entendu un léger tapotement à la porte de la clinique », a écrit le personnel du centre. « Nous nous sommes retournés pour voir que son compagnon apparût sur le porche et tentait de s’introduire dans notre clinique ! Elle l’avait en quelque sorte localisé… »
Heureusement, l’opération du pied d’Arnold a été un succès. Sa petite amie n’exigeait rien de moins.
« Elle est restée là pendant toute la procédure, nous regardant travailler, ne bougeant jamais de la porte », écrit le personnel.
Ensuite, ils ont placé Arnold près de la porte et l’ont ouverte pour que les deux oies puissent être ensemble.
« Ils semblaient tous les deux beaucoup plus à l’aise en présence l’un de l’autre », a écrit le personnel.
Arnold devrait avoir besoin de quelques semaines pour récupérer complétement, mais ce n’est pas comme s’il serait seul : De peur que sa petite amie ne s’inquiète, le personnel de la clinique prévoit de la laisser continuer ses visites.
« Nous ferons de notre mieux pour le faire sortir rapidement et effectuerons des changements de bandage et des traitements en vue de la porte lorsque cela sera possible afin que son compagnon puisse le surveiller », ont-ils écrit, ajoutant : « Ensemble dans la maladie et dans le bien-être… »
